Les concours de banquet chinois
Lors de banquet chinois ou de reception chinoise, les chefs chinois savent innover et supprendre leur clients. Quelque fois les chefs des petits restaurants chinois confectionnent leurs plats chinois en fonction des coutumes locales et des croyances populaires : notamment en ce qui concerne le respect pour les dieux et les mânes. Dans le cas d'un banquet en plein air, les mets sont cuisinés sur place et doivent faire l'objet d'une attention particulière eu égard aux imprévus météorologiques. Les traiteurs chinois rivalisent entre eux pour exécuter des banquets ou sont taillés les légumes et les fruits dans des formes originales. Ces sortent de joute de cuisine sont toujours définis suivant des régles qui sont que les ingredients pour la confection du buffet soit les mêmes pour chacun des participants.
Certains chef ne changent rien dans les recettes d'antant comme la cuisine d'Ilan qui est préparée comme par le passé, à savoir : le « porc de Hsilu » : pour cette préparation combinant du pé-tsaï, des tranches de porc, des champignons, des carottes et des oeufs de cane séchés, de nombreux cuisiniers font rissoler le tout ensemble puis le passent dans une étuve.
Certain cuisinier n'hesite pas a changer cette facon de le cuisiner : commencer par faire sauter le pé-tsaï avec la farce légèrement frite, puis ajouter les autres ingrédients en une couche sans mélanger.
Comme l'on dit un bon cuisinier doit connaître les ressources locales en matière de nourriture afin d'utiliser au mieux celles-ci. Dans la région d'Ilan, ils trouveront des pieds de riz sauvage qui poussent près des sources chaudes locales qu'ils peuvent faire blanchir rapidement, envelopper dans de fines tranches de lard, puis faire griller le tout au barbecue. Ils trouveront aussi des épinards d'eau qu'ils mélangeront avec une sauce à la seiche, ou encore accommodé des crevettes fraîches avec des kumquats. Autre mets : un pâté local à base de porc : chaud à l'intérieur et froid à l'extérieur : faire un bouillon avec des os de canard et de poulet laisser mijoter longuement ; faire une farce à base de blancs de poulet, de filet de porc et de crevettes fraîches additionnée de farine et cuite à feu doux jusqu'à prendre la consistance du pâté. Refroidi, il est découpé en morceaux qui sont passés à la farine et frits.
Voila ce qu'est la cuisine chinoise
On ne change pas le passé mais on peut le faire evoluer
Certains chef ne changent rien dans les recettes d'antant comme la cuisine d'Ilan qui est préparée comme par le passé, à savoir : le « porc de Hsilu » : pour cette préparation combinant du pé-tsaï, des tranches de porc, des champignons, des carottes et des oeufs de cane séchés, de nombreux cuisiniers font rissoler le tout ensemble puis le passent dans une étuve.
Certain cuisinier n'hesite pas a changer cette facon de le cuisiner : commencer par faire sauter le pé-tsaï avec la farce légèrement frite, puis ajouter les autres ingrédients en une couche sans mélanger.
Comme l'on dit un bon cuisinier doit connaître les ressources locales en matière de nourriture afin d'utiliser au mieux celles-ci. Dans la région d'Ilan, ils trouveront des pieds de riz sauvage qui poussent près des sources chaudes locales qu'ils peuvent faire blanchir rapidement, envelopper dans de fines tranches de lard, puis faire griller le tout au barbecue. Ils trouveront aussi des épinards d'eau qu'ils mélangeront avec une sauce à la seiche, ou encore accommodé des crevettes fraîches avec des kumquats. Autre mets : un pâté local à base de porc : chaud à l'intérieur et froid à l'extérieur : faire un bouillon avec des os de canard et de poulet laisser mijoter longuement ; faire une farce à base de blancs de poulet, de filet de porc et de crevettes fraîches additionnée de farine et cuite à feu doux jusqu'à prendre la consistance du pâté. Refroidi, il est découpé en morceaux qui sont passés à la farine et frits.
Voila ce qu'est la cuisine chinoise